Le conflit est un conflit entre les personnes. Comme pour le différend et comme pour la discussion, il n’y a pas d’accord. Alors, quelle est la différence :
Les collègues controversés ne se fixent pas d’objectif : offenser, humilier l’adversaire. Le devoir des parties est de faire de l’ennemi leur allié en le convaincant qu’il a tort. La vérité naît dans de tels arguments. Ces types de conflits sont appelés constructifs.
Combattre les gens est aussi une question de désaccord. Cependant, ils ne présentent pas d’arguments basés sur des preuves, mais tentent d’effrayer, d’éliminer, de faire taire l’ennemi en affectant ses émotions. Il est impossible d’aller au fond de la vérité en faisant appel aux émotions, pas à l’esprit. Ces conflits sont considérés comme destructeurs, où la victoire à tout prix est plus importante que la recherche d’une solution au problème.
Ces deux exemples et d’autres de comportement entre collègues sont possibles, mais avec des conséquences différentes.
Si les désaccords conduisent à l’obtention de résultats positifs, fournissent une expérience de coopération et améliorent les relations au sein de l’équipe, les querelles, au contraire, créent des relations intolérantes, aggravent l’humeur, s’écartent d’un objectif commun et réduisent l’efficacité du travail.
Conflit interpersonnel
Souvent, cela résulte d’un mécontentement face à l’inégalité dans la répartition des biens, des ressources, du fardeau ou des sanctions au sein d’une équipe. Cela se produit généralement lorsque plusieurs personnes font le même travail.
Le mécontentement et les calculs commencent non seulement là où il y a une pénurie de ressources ou de biens, mais aussi là où le fardeau est trop lourd et les sanctions sont graves. Des conflits de distribution se produisent également dans les établissements les plus riches.
Personnalité et groupe
C’est naturel et justifié s’il y a conflit dans une équipe avec un collègue qui viole les normes de comportement, de communication, d’apparence adoptées ici. Mais ce n’est pas que ça.
Parfois, la raison du « boycott» peut être la présence d’un leader informel qui pousse les intérêts personnels dans le conflit. Un groupe de soutien se forme autour de lui. Il est difficile de sortir de cette situation. Vous devrez soit embaucher le même groupe d’amis, soit surmonté votre fierté et avoir une conversation franche avec le chef.
Conflit interne
Il y a souvent des dirigeants pleinement engagés dans leur travail. Le besoin d’être mari, femme, père, mère et l’impossibilité de le faire pour vivre une vie de famille complète sont déchirés par l’esprit humain. Le directeur démolit ses subordonnés, dans la situation actuelle, il les considère comme des criminels.
Pour persuader le patron ?
Est-il sensé d’entrer en conflit avec le chef ? Oui, s’il y a un réel soutien de l’extérieur et d’en haut, si une dispute vient avant d’être renvoyée.
Et si le patron écoute attentivement les plaintes, il sera vacciné et admettra qu’il a tort, malgré le risque de perdre le respect du reste de l’équipe. La perspective de résoudre les conflits ne se trouve qu’au cinéma. En réalité, « le patron a toujours raison, et sinon, lisez le premier point ».
Pour éviter les situations de conflit, pour soulever les terres pour leur croissance, le chef doit répartir équitablement les bénéfices matériels. Il est correct de distribuer « pain d’épice et gifle » avec les bonnes informations.
Les commérages et les accusations ne doivent pas être encouragés.
N’ayez pas peur de tirer.
Vous ne pouvez pas organiser de confrontations publiques.
Pour résoudre le conflit, vous ne devez pas prendre parti, même s’il n’est que visible.
Un vrai chef devrait être heureux lorsque ses subordonnés sortent avec des chansons le jour du nettoyage, lui demandant de ne pas renvoyer complètement son grand-père vétéran. Les ressources humaines permettent de gérer les relations sociales dans l’entreprise. Visitez notre site reporting RH pour plus d’informations.